
Dans une maison de retraite, un cheval brun est soudainement apparu : tout le personnel et les résidents étaient sous le choc, jusqu’à ce qu’ils découvrent pourquoi l’animal était là

C’était juste une journée ordinaire à la maison de retraite.
Chacun vaquait à ses occupations : certains lisaient le journal, d’autres regardaient la télévision, et quelques-uns somnolaient sur leur chaise. Soudain, le silence fut rompu par la voix inquiète d’une infirmière :
— « Madame, vous avez un visiteur ! »
La vieille femme dans son fauteuil roulant leva les yeux avec surprise.
— « Qui ? Je n’attends personne… Je n’ai pas de visite. »
— « Je ne sais pas », répondit l’infirmière maladroitement, « mais ils ont dit que c’était urgent. »

La femme se dirigea lentement vers le parloir. Elle n’aurait jamais pu imaginer ce qui l’attendait. Et là, quel choc ! Au milieu de la pièce se tenait un immense cheval brun à la crinière épaisse et magnifique.
Tout le personnel et les autres résidents s’étaient rassemblés dans le couloir, observant avec stupeur cette scène incroyable. Le cheval restait immobile, comme s’il comprenait parfaitement sa présence.
La vieille femme s’approcha, tendit une main tremblante et serra l’animal autour de son cou. Des larmes ruisselèrent sur ses joues. Le cheval ne résista pas ; au contraire, il baissa la tête pour que la femme puisse lui caresser le museau.
— « Que se passe-t-il ? » demanda finalement l’un des résidents. « Que fait un cheval dans une maison de retraite ? »
La femme, tenant toujours fermement l’animal, révéla doucement quelque chose qui laissa tout le monde sans voix. Suite dans le premier commentaire

— « Ce n’est pas qu’un cheval… C’est mon ami. Je l’ai élevé quand il était encore poulain. Nous avons passé vingt ans ensemble, sans nous séparer un seul jour. Mais quand je suis tombée malade et qu’on m’a installée ici, il est resté chez les voisins. Ils ont pris soin de lui, mais… » — elle soupira et sourit à travers ses larmes — « Je lui manquais tellement. Tellement qu’il a arrêté de manger. Et puis mon voisin a compris : il se languissait de moi. »
Le silence se fit dans la salle. Personne ne put retenir ses larmes.
La femme tint longuement la tête de son bien-aimé entre ses mains, murmurant des mots de gratitude et d’amour. Et le cheval semblait comprendre chaque mot, répondant par un léger mouvement des oreilles et un léger souffle.
Une semaine après cette rencontre, la vieille dame décéda. Mais le plus important fut de pouvoir dire adieu à celui qu’elle aimait de tout son cœur. Son fidèle ami retrouva enfin la paix, sachant qu’il avait revu son maître une dernière fois.
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