
Un jeune prisonnier partageait sa nourriture avec son compagnon de cellule : en guise de remerciement, le vieux prisonnier lui révéla quelque chose de terrible
Ce jour-là, le silence régnait dans la cellule. Le vieux prisonnier était assis sur sa couchette, les mains sur le ventre. La punition du gardien avait été sévère : pour un mot dur et une désobéissance, il avait été privé de nourriture.
Il avait passé la journée entière à rêver d’un simple morceau de pain. Assis dans la cellule froide, il fixait les murs gris, sentant le vide dans son estomac le rendre fou.

Le jeune prisonnier, son compagnon de cellule, le remarqua. Il fit d’abord semblant de ne pas le remarquer, mais la respiration haletante du vieil homme l’empêchait de se reposer. Au dîner, on lui servit une maigre portion : un morceau de pain et une pomme. Le garçon regarda la nourriture, puis le vieil homme, et soupira profondément.
— « Tiens, prends-le », dit-il doucement en lui tendant la moitié du pain et la pomme.
Le vieil homme leva les yeux. Une lueur de surprise y apparut, comme s’il avait depuis longtemps cessé d’attendre de la gentillesse. Ses doigts tremblaient lorsqu’il accepta l’offrande.
— « Pourquoi as-tu fait ça ? » murmura-t-il.
— « Parce que je sais ce que c’est que d’avoir faim », répondit le garçon.
Ils étaient assis sur leurs couchettes, mangeant leur dîner en silence.
Seuls le croquant de la pomme et le craquement de la croûte de pain rompaient le silence de la cellule. Mais soudain, le vieil homme posa la nourriture et regarda son compagnon de cellule d’un air tout différent : sérieux, inquiet.
— « Ce soir », dit-il d’un ton étonnamment lourd, « essaie de ne pas dormir. Reste vigilant. »
Le jeune prisonnier se figea, tenant le morceau de pain à moitié mangé.

— « Pourquoi ? Que se passe-t-il ? »
Puis le vieux prisonnier a révélé quelque chose de terrible À suivre dans le premier commentaire
Le vieil homme se pencha plus près, sa voix se transformant en un murmure :
— « Tu as prouvé que tu étais un bon garçon. Et je veux t’aider. »
— « Mais que va-t-il se passer ce soir ? » demanda le garçon.
Le vieux prisonnier soupira profondément et serra les poings.
— « J’ai surpris une conversation… Des hommes d’une autre cellule – d’anciens membres du gang. Aujourd’hui, tu t’es disputée avec eux, et on dirait qu’ils se sont offusqués. Je les ai entendus préparer leur plan. Ils ont soudoyé un gardien pour qu’il leur ouvre la porte ce soir. Ils veulent entrer pendant que tu dors et te frapper si violemment que personne n’aura le temps d’intervenir. »
Le jeune prisonnier pâlit.

– “Es-tu sûr?”
— « Absolument », acquiesça le vieil homme. « Je connais ces hommes. S’ils l’ont dit, ils le feront. »
Le garçon serra les dents.
— « Merci de me l’avoir dit. »
Cette nuit-là, le jeune prisonnier ne ferma pas l’œil. Chaque bruit du couloir résonnait dans sa tête. Lorsque la serrure en fer grinça et que la porte de la cellule s’ouvrit lentement, il était déjà prêt.
Et c’est seulement grâce à l’avertissement du vieil homme qu’il a pu réagir rapidement, donner l’alerte, repousser le premier attaquant et ainsi déjouer leur plan.
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